In this article we investigate the nature of problem presentation and responses on an online forum for young people who self-harm. Previous studies have raised concerns about the peer encouragement of self-harming behaviours in online forums, and this analysis considers the nature of peer interaction on a specific forum, ‘ SharpTalk’. This was a research forum which explored the potential of online communities to foster engagement and shared learning between NHS professionals and young people who self-harm. This analysis draws on (...) conversation analysis methods to study problem presentation and responses, and nature of advice given. Analysis highlighted both the tendency to offer advice where it was not asked for, and the mundane ‘safe’ nature of advice. This awareness of how young people interact and provide support online is important for those setting up online interventions to support young people who self-harm. (shrink)

The internet is widely used for health information and support, often by vulnerable people. Internet-based research raises both familiar and new ethical problems for researchers and ethics committees. While guidelines for internet-based research are available, it is unclear to what extent ethics committees use these. Experience of gaining research ethics approval for a UK study (SharpTalk), involving internet-based discussion groups with young people who self-harm and health professionals is described. During ethical review, unsurprisingly, concerns were raised about the vulnerability of (...) potential participants. These were dominated by the issue of anonymity, which also affected participant safety and consent. These ethical problems are discussed, and our solutions, which included: participant usernames specific to the study, a closed website, private messaging facilities, a direct contact email to researchers, information about forum rules displayed on the website, a ‘report’ button for participants, links to online support, and a discussion room for forum moderators. This experience with SharpTalk suggests that an approach to ethics, which recognises the relational aspects of research with vulnerable people, is particularly useful for internet-based health research. The solutions presented here can act as guidance for researchers developing proposals and for ethics committees reviewing them. (shrink)

The copious literature on the work of artist Robert Smithson has made very little of the many parallels between the inventor of earthworks and the nineteenth-century author of pataphysics, despite the established fact that the artist read and made notes from Alfred Jarry’s Dr. Faustroll (1898) while working on the Spiral Jetty in 1970, which undoubtedly influenced the subsequent Broken Circle &/ Spiral Hill (1971, Emmen). Given the insightful literature reassessing Jarry’s influence on twentieth-century artists including Marcel Duchamp, John (...) Cage and Rodney Graham, a consideration of Smithson’s spiral earthworks in connection with Jarry is long overdue. In contrast to prevailing art research practices today, Smithson’s work is much more aligned with the pataphysical pursuit of ‘imaginary solutions’ that examine ‘the laws governing exceptions’ and describe ‘a universe which can be – and perhaps should be – envisaged in place of the traditional one’. Art historian Jack Burnham’s interprets Smithson’s earthworks as a ‘time-bound web of man-nature interactions … didactic exercises … [that] show a desperate need for environmental sensibility’. In this respect, the work of both Jarry and Smithson can provide a useful corrective to an overly rationalistic approach to art research, offering the field – and contemporary art in general – potentially valuable tools for forms of practice that challenge rather than adopt conventional academic models and epistemological constructs. (shrink)

À l’origine du présent ouvrage se trouve un cours consacré aux voyages lointains dans l’imaginaire grec : l’A. nous emmène, à l’image de ses anciens étudiants, sur les traces de l’âge d’or à partir de ses évocations dans la culture occidentale, depuis Hésiode jusqu’à aujourd’hui, en passant par la découverte du Nouveau Monde et de Tahiti. Cette recherche est articulée autour des dimensions temporelle et spatiale du mythe (terme dont la pertinence est abordée p. 15), deux composantes dont la p...

Qui était Jules Puech (1878-1957) et comment est-il devenu le biographe de Flora Tristan? À travers l’histoire de celui qui a joué le rôle de « passeur » (p. 114) des idées de la féministe, Máire Cross, spécialiste reconnue de Flora Tristan, nous emmène sur les pas de cette dernière, depuis sa mort en 1844 jusqu’à la publication de son journal en 1973. Suivant une démarche pour le moins originale, l’ouvrage entrelace deux biographies, l’une intellectuelle, celle d’un historien pionnier mais...

4e de couv.: « C'est de l'homme que j'ai à parler »: ainsi commence le « Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes » paru en 1755. Prise pour une invitation à suivre un Jean-Jacques Rousseau anthropologue, cette phrase a donné lieu à une exposition au MEG et à cet album. De Genève aux Amériques, en passant par la Suisse et par l'Orient, le parcours nous emmène sur les traces de Rousseau, en essayant de capter ce (...) qui, de son époque, nous parle encore. Moins que des réponses, c'est un questionnement qui sert de fil rouge à cette exploration, en nous confrontant à l'altérité du passé. Fragilisant les frontières, le doute que cultivait Rousseau et son goût de la spéculation nous rendent disponibles aux découvertes, aux rencontres, aux fraternités. Il nous rappelle qu'il ne faut jamais confondre la connaissance avec les idées reçues au nom desquelles nous dressons de confortables palissades entre l'Autre et nous. Comme un voyage dans une époque qui a réfléchi avant la nôtre à l'histoire de l'humanité et au destin des peuples de la Terre, ce petit livre richement illustré nous parle d'égalité et de différences et met en évidence des interrogations de Rousseau qui nous concernent toujours. (shrink)

Il est de ces livres qui nous glissent entre les doigts, échappent aux tentatives d’en rendre compte, ironisent sur le projet sérieux que nous avions d’en parler. La morale et ses fables d’Anne Staquet est de ceux-là. Tout d’abord parce qu’il refuse de conclure, et nous prive d’un résultat à pouvoir exposer. En second lieu parce qu’il brouille les cartes de son style oscillant entre roman, pièce de théâtre ou essai philosophique et nous emmène dans une odyssée déstabilisante à la (...) poursuite d’une éthique non prescriptive qui finit par prendre les traits fuyants d’une éthique de la souveraineté. Sans doute, avec un brin d’obstination serait-il possible de résumer de façon classique cet ouvrage: il s’agirait de présenter la thèse générale de l’auteure, donner les grandes lignes de son argumentation et épingler quelques critiques. Quelques éléments sur l’auteure, qui a déjà publié un ouvrage sur la pensée faible de Rovatti et Vattimo (La pensée faible de Vattimo et Rovatti: une pensée-fable. (shrink)

Le moine trappiste américain Thomas Merton a abondamment écrit sur la vie intérieure et la mystique. Son dialogue avec des spirituels de différentes traditions, notamment asiatiques, l’a ouvert à d’autres approches et lui a fait approfondir sa quête spirituelle, en l’emmenant au-delà des frontières de sa propre tradition. En insistant surtout sur l’expérience, sur la relation à Dieu au-delà des mots, Merton a aidé d’autres chercheurs de Dieu à avancer sur le chemin de l’union avec le Divin. Il a aussi (...) été un pionnier dans le domaine du dialogue interreligieux, en apportant sa pierre à la théologie chrétienne des religions. (shrink)

Résumé — L’intérêt des philosophes pour Lessing n’est peut-être jamais aussi intense et légitime que lorsqu’il se porte à considérer sa conception même de la philosophie. Du théorique au pratique ou, plus exactement, de la scission du théorique et du pratique dans le métaphysique à leur harmonie dans le modèle philosophique de la sagesse, la légitimité philosophique conçue par Lessing semble d’abord nous emmener vers une déconsidération principielle de toute philosophie comme simple métaphysique, au profit d’une philosophie dont le seul (...) sens serait alors de devenir philosophie pratique. Cependant, on peut alors se poser la question de savoir si la façon dont Lessing fait de la philosophie correspond à ce qu’il en dit : n’est-il pas alors surprenant de constater chez Lessing l’absence d’une telle philosophie pratique comme théorie des mœurs – et, au contraire, la troublante persistance d’échos métaphysiques ?Zusammenfassung — Das Interesse, das die Philosophen Lessing entgegenbringen, scheint um so stärker und berechtigter zu sein, als es seiner Auffassung der Philosophie selbst gilt. Vom Theorischen zum Praktischen, oder vielmehr von der Spaltung des Theorischen und des Praktischen im Metaphysichen, zur Harmonie, die dazwischen im philosophischen Weisheitsmuster herrscht, scheint zuerst die von Lessing begründete philosophische Legitimität jede Philosophie als einfache Metaphysik grundsätzlich zu entwerten, und zwar zugunsten einer Philosophie, deren einzige Bestimmung darin bestehen würde, eine praktiche Philosophie zu werden. Besteht jedoch nicht ein Widerspruch zwischen diesen beiden Pünkten : die Philosophie, wie sie bei Lessing tatsächlich anwesend ist, und was er sagt davon ? Es kann nämlich sonderbar erscheinen, da eine solche Philosophie bei Lessing keineswegs die Form einer Sittenlehre annimmt, sich vielmehr weiterhin durch das verwirrend Vorhandensein metaphysicher Echoen auszeichnet. (shrink)

Dans ce volume collectif, J. Albisetti, J. Goodman et Rebecca Rogers nous emmènent dans un tour européen du développement de l’enseignement secondaire pour les filles. Les contributeurs proposent deux pistes principales : une vue d’ensemble des histoires nationales de l’enseignement des filles ; et une présentation des pistes de recherche à suivre. Bien que Girls’ Secondary Education in the Western World soit organisé par pays, les directeurs et les auteurs soulignent les multiples connexions...

The author analyses the problem of the communication from the epistemological point of view, noting that the interest to the theme is obviously determined by the enormous ambiguity and by the disciplinary vagueness of the communication's notion itself. It is argued that it is the philosophical conceptualization of the communication that allows in a certain sense to «save» philosophy itself. The author notes that the philosophical studies of communication as if return the relevance to the classical philosophical problems: to the (...) (communicative) sphere, (communicative) time, (social) causality, (collective) subject and object, filling them with the meaningful characteristics and testing their concepts by the experience of the functioning of real society and communication. He concludes that the epistemological content of the concept of communication is comes together with several aspects of human cognition. The first aspect has to do with the dimensions for defining the adequacy for determination of the statement made by the Other (i.e. the other participant), given that the content of the Other's consciousness is unavailable. The second aspect is related to the principle of a double purpose of any communication: on the one hand, integration and mutual understanding and, on the other, informational description of the subject of the message. The third aspect is that communication is based on the most important epistemological distinction between knowledge and ignorance, i.e. on the predominance of any information to one participant of the communication and of its uncertainty to the other participant, and that such a situation actually conditions the formation of communication systems, as well as of a wide variety of forms of sociality. The author also addresses the problem of whether contemporary media make communication at all possible since they decrease the impact that the secrecy of the Other's consciousness has on communication by triggering a communicative act. (shrink)

Platon observe nos smartphones, croise nos migrants, découvre les attentats terroristes, scrute nos dirigeants politiques. Roger-Pol Droit lui fait rencontrer Teddy Riner, Bob Dylan, Thomas Pesquet, l'emmène à la COP 21, au MacDo, à Pôle Emploi, au Mémorial de la Shoah, l'incite à visionner House of Cards, à écouter Emmanuel Macron et Donald Trump. Entre autres. Pour jouer? Evidemment. Mais pas seulement. Cette promenade dans notre actualité du père fondateur de la philosophie permet de découvrir des traits essentiels de sa (...) pensée, en expérimentant des écarts entre nous et lui, en testant ce qu'il comprendrait aisément, ou pas du tout. Finalement, ce périple montre ce que Platon nous indique d'essentiel, que nous ne verrions pas sans lui. Rédigé sous la forme de trois carnets écrits au jour le jour, dans une langue accessible et élégante, ce livre se révèle peu à peu bien autre chose qu'un divertissement. L'air de rien, il développe une méditation vivante, personnelle et profonde sur les usages de la philosophie, ses impasses et ses zones d'ombre, sa nécessité et ses bienfaits. (shrink)

La modernité s'essouffle tant la considération de l'Homme indépendant, autonome, volontaire et décideur a montré ses excès de maîtrise et ses failles. Y aurait-il un autre commencement que la conscience et le savoir? Ne sommes-nous pas rencontres? Mais alors tout ne part plus de moi ; il y va de l'autre. La première partie tente d'élaborer une phénoménologie de la rencontre. Mais la rencontre se limite au face à face. Pourrait-elle nous emmener au-delà jusqu'à une reconsidération de la justice, de (...) la politique, de la société? La seconde partie du livre présente une articulation entre ces dimensions de notre réalité commune. La rencontre serait alors ce qui permet de penser une société qui n'absorbe rien de nos singularités, et d'envisager la dimension politique à l'endroit d'une vulnérabilité partagée. (shrink)

L’histoire du texte des Régles pour la Direction de l’Esprit (Regulae) de Descartes est un peu singulière: non publié du vivant de Descartes, il n’a paru qu’en 1701, dans les Opera Posthuma d’Amsterdam. De façon plus significative, et contrairement aux autres traités cartésiens perdus, ce texte secret n’est jamais explicitement evoqué par Descartes, fût-ce au détour d’une correspondance. Par leur étroite dépendance vis à vis des mathématiques, les Regulae sont cependant un texte majeur, constitutives de la pensée de leur auteur (...) dans ses années de jeunesse (1619-1628), et par là de toute la philosophie moderne. Descartes avait jugé le texte suffisamment important pour I’emmener à Stockholm, où il a été découvert apres sa mort, dans ses papiers.Entre les mathématiques et les Regulae, ce texte “éclatant et obscur” (J.P. Weber), il est ces trois types principaux de rapports croisés que nous tâcherons d’analyser: historiquement d’abord, quelles furent la formation et I’expérience mathématique du jeune Descartes, qui constituerent, à notre sens, I’armature conceptuelle du texte. Quelles sont ensuite les voies par lesquelles, dans les Regulae, Descartes a putransmuer cette expérience mathématique premiere à la fois en une pratique, une méthode, une théorie de la connaissance, enfin en une épistémologie assez radicalement neuve. Enfin, et prenant Descartes au sérieux nous examinerons à I’occasion cette question: quel est le sort réservé, de nos jours, à cette épistémologie cartésienne, en particulier confrontée aux mathématiques contemporaines? (shrink)

My goal is to define intending. I defend the view that believing and desiring something are necessary for intending it. They are not sufficient, however, for some things we both expect and want (e.g., the sun to rise tomorrow) are unintendable. Restricting the objects of intention to our own future actions is unwarranted and unhelpful. Rather, the belief involved in intending must be based on the desire in a certain way. En route, I argue that expected but unwanted consequences are (...) not intended, examine the two senses of "desire," distinguish intending from being willing, and relate intending to a variety of other propositional at? titudes. (shrink)

Moral education through service learning at post-secondary level is an important but under-researched field. Most existing studies center on its learning outcomes like academic progress, personal development, communication, and leadership skills, with only a few evaluating the moral development of college students participating in service-learning projects. The lack of study on moral development in service learning indicates a need for clarification of the theoretical underpinnings of service learning, John Dewey's ideas on moral growth, in particular his model of moral imagination (...) and the implications thereof, for current service-learning research and practice. We argue that Dewey's work here can help strengthen .. (shrink)

What can--and what can't--philosophy do? What are its ethical risks--and its possible rewards? How does it differ from science? In Philosophy as a Humanistic Discipline, Bernard Williams addresses these questions and presents a striking vision of philosophy as fundamentally different from science in its aims and methods even though there is still in philosophy "something that counts as getting it right." Written with his distinctive combination of rigor, imagination, depth, and humanism, the book amply demonstrates why Williams was one of (...) the greatest philosophers of the twentieth century. Spanning his career from his first publication to one of his last lectures, the book's previously unpublished or uncollected essays address metaphysics, epistemology, and ethics, as well as the scope and limits of philosophy itself. The essays are unified by Williams's constant concern that philosophy maintain contact with the human problems that animate it in the first place. As the book's editor, A. W. Moore, writes in his introduction, the title essay is "a kind of manifesto for Williams's conception of his own life's work." It is where he most directly asks "what philosophy can and cannot contribute to the project of making sense of things"--answering that what philosophy can best help make sense of is "being human." Philosophy as a Humanistic Discipline is one of three posthumous books by Williams to be published by Princeton University Press. In the Beginning Was the Deed: Realism and Moralism in Political Argument was published in the fall of 2005. The Sense of the Past: Essays in the History of Philosophy is being published shortly after the present volume. (shrink)

Appearing in the “Cairo Declaration on Human Rights in Islam” as an undefined referent for the limits on freedom of expression in Islam, Shariah is still to be chased as an indefinable referent which restricts freedom of the expression in the Islamic Republic of Iran. Iran’s Press Law as well as Constitution unveil Shariah’s referent to be a person: the Jurist-Ruler around whom a cult of personality is legalized in terms of “Imamate” and around whom all the limits on freedom (...) of expression revolve. Interpretation of Shariah is not a solution but part of the problem in Iran. Such problem can be dealt in terms of three modes of self-expression which were invented by the Iranian Reformists to avoid self-censorship. The notion of master-signifier can be the key to unraveling the problem of self-referentiality in freedom of expression and its Reformist solution in Iran’s legal system. (shrink)

Women; ethics; religious aspects; ethics.

We introduce an abstract framework for general rough set theory from a mereological perspective and consider possible concepts of ’a priori’ granules and granulation in the same. The framework is ideal for relaxing many of the relatively superfluous set-theoretic axioms and for improving the semantics of many relation based, cover-based and dialectical rough set theories. This is a relatively simplified presentation of a section in three different recent research papers by the present author.

I propose a cautionary assessment of the recent debate concerning the impact of the dynamical approach on philosophical accounts of scientific explanation in the cognitive sciences and, particularly, the cognitive neurosciences. I criticize the dominant mechanistic philosophy of explanation, pointing out a number of its negative consequences: In particular, that it doesn’t do justice to the field’s diversity and stage of development, and that it fosters misguided interpretations of dynamical models’ contribution. In order to support these arguments, I analyze a (...) case study in computational neuroethology and show why it should not be understood through a mechanistic lens; I specially focus on Zednik’s mechanistic interpretation of the case study. In addition, I argue for a greater appreciation of the relation between explanation and other epistemic goals in the field, as well as an increased sensitivity towards the associated contextual factors. (shrink)

Thomas Hobbes is recognized as one of the fathers of modern philosophy and political theory. In his own time he was as famous for his work in physics, geometry, and religion. He associated with some of the greatest writers, scientists, and politicians of his age. Martinich has written a complete and accessible biography of Hobbes. The book takes full account of the historical and cultural context in which Hobbes lived, drawing on both published and unpublished sources. It will be a (...) great resource for philosophers, political theorists and historians of ideas. The clear, crisp prose style will also ensure that the book appeals to general readers with an interest in the history of philosophy, the rise of modern science and the English Civil War. (shrink)

Open theism argues that traditional responses to the problem of evil fail to provide comfort amidst suffering because of their notion of metaphysical determinism and over-dependence on Greek philosophy. Open theists argue that the best solution to the problem of evil lies in our understanding of the nature of God’s power, which has been relinquished due to his love, the open nature of creation, and the creatures’ inherent powers. This study argues that the open-theistic notion of divine power is reductionistic (...) because it does not consider coercive power as part of divine power. Further, the open theistic logic-of-love defence propagates a loveless God who respects his covenant with the beloved more than the beloved. Finally, the study argues that the open theists’ notions of divine omniscience and divine power are not viable; they raised many questions and objections and, therefore, created room for despair rather than comfort in adversity. (shrink)

This chapter contains sections titled: The Start Line Lap One, Where Cycling Practice Meets Feminist Ethics Lap Two, Words from Our Teammates or The Dirt Documentaries Lap Three, Different Lines, Same Course Last Lap, How Women Cyclists Transform Cycling.

Critical and comparative analysis on the philosophical thoughts of ʻAlī Sharīʻatī and Sir Muhammad Iqbal, 19th and 20th centuries Muslim philosophers.

The essays look at the role of the military in the Cold War and after, and review the prospects for war and peace in the next century."--BOOK JACKET.