Preface -- 1. Propositional logic : proofs from axioms and inference rules -- 2. First order logic : proofs with quantifiers -- 3. Set theory : proofs by detachment, contraposition, and contradiction -- 4. Mathematical induction : definitions and proofs by induction -- 5. Well-formed sets : proofs by transfinite induction with already well-ordered sets -- 6. The axiom of choice : proofs by transfinite induction -- 7. applications : Nobel-Prize winning applications of sets, functions, and relations -- 8. Solutions (...) to some odd-numbered exercises. (shrink)

Book review r A. (2004). "Book review: Yves nievergelt, foundations of ...

Pathologizing ugliness refers to the framing of unattractive features as a type of disease or deformity. By framing ugliness as pathology, cosmetic procedures are reframed as therapy rather than enhancement, thereby potentially avoiding ethical critiques regularly levelled against cosmetic surgery. As such, the practice of pathologizing ugliness and the ensuing therapeuticalization of cosmetic procedures require an ethical analysis that goes beyond that offered by current enhancement critiques. In this article, I propose using a thick description of the goals of medicine (...) as an ethical framework for evaluating problematic medical practices. I first describe the goals of medicine based on Daniel Callahan's account. I then propose that the goals work best in conjunction with ancillary ethical concepts, namely medical knowledge and skills, standards of practice and medical duties and virtues. Next, I apply the thick description of the goals of medicine in critiquing the practice of framing ugliness as disease. Here, I demonstrate ethical conflicts between aesthetic judgments that underpin the practice of pathologizing ugliness and medical judgments that inform ethical medical practices. In particular, the thick description of the goals of medicine helps reveal ethical conflicts in at least three key domains common to clinical practices, which include (a) disease determination, (b) diagnostic evaluation and (c) establishing clinical indications. My analysis offers a novel way of critiquing the practice of pathologizing ugliness in cosmetic surgery, which tends to be neglected by enhancement critiques. (shrink)

This review aims to identify (1) sources of knowledge and (2) important themes of the ethical debate related to surgical alteration of facial features in East Asians. This article integrates narrative and systematic review methods. In March 2014, we searched databases including PubMed, Philosopher’s Index, Web of Science, Sociological Abstracts, and Communication Abstracts using key terms “cosmetic surgery,” “ethnic*,” “ethics,” “Asia*,” and “Western*.” The study included all types of papers written in English that discuss the debate on rhinoplasty and blepharoplasty (...) in East Asians. No limit was put on date of publication. Combining both narrative and systematic review methods, a total of 31 articles were critically appraised on their contribution to ethical reflection founded on the debates regarding the surgical alteration of Asian features. Sources of knowledge were drawn from four main disciplines, including the humanities, medicine or surgery, communications, and economics. Focusing on cosmetic surgery perceived as a westernising practice, the key debate themes included authenticity of identity, interpersonal relationships and socio-economic utility in the context of Asian culture. The study shows how cosmetic surgery of ethnic features plays an important role in understanding female identity in the Asian context. Based on the debate themes authenticity of identity, interpersonal relationships, and socio-economic utility, this article argues that identity should be understood as less individualistic and more as relational and transformational in the Asian context. In addition, this article also proposes to consider cosmetic surgery of Asian features as an interplay of cultural imperialism and cultural nationalism, which can both be a source of social pressure to modify one’s appearance. (shrink)

Directeur de recherche au CNRS, où il dirige le Centre d’histoire de la philosophie moderne et le Centre Thomas-Hobbes. Il enseigne également la philosophie politique moderne et contemporaine à l’Université de Paris I - Panthéon-Sorbonne. Il est notamment l’auteur de La décision métaphysique de Hobbes. Conditions de la politique (Vrin, 1987, 2e éd.,..

Impact of Reformation on the birth of Modernity and America.

Most agents can acquire information about their environments as they operate. A good plan for such an agent is one that not only achieves the goal, but is also executable, i.e., ensures that the agent has enough information at every step to know what to do next. In this paper, we present a formal account of what it means for an agent to know how to execute a plan and to be able to achieve a goal. Such a theory is (...) a prerequisite for producing specifications of planners for agents that can acquire information at run time. It is also essential to account for cooperation among agents. Our account is more general than previous proposals, correctly handles programs containing loops, and incorporates a solution to the frame problem. It can also be used to prove programs containing sensing actions correct. (shrink)

Applying ethical values in scientific research is conditional to the determination of a metaphysical position on human beings as such. The contemporary context of science and technoscience is essentially based on technological fallouts and a modern dogma of efficiency, relegating ethics to a second place at best. This carries possibly dangerous consequences for humanity. The objective of natural sciences worthy or their name is a return to a form of investigation closer to its origin, but also more conscious of the (...) implications of modern technology. Hence, ethics must be at the heart of scientific education and research, not in its margins. (shrink)

Le socle de la culture contemporaine est d’ordre anthropologique. Cette problématique fait de l’homme son référent épistémologique. Dans la mesure où la théologie reste tributaire d’une épistémologie strictement métaphysique, son discours peine à se faire entendre dans l’espace de la modernité. La présente réflexion se propose de dégager les problématiques à l’œuvre dans ces deux épistémologies et se demande, en finale, comment la théologie pourrait se déployer dans une culture de modernité.

La culture contemporaine a pris acte des interprétations philosophiques du XIXe siècle qui mettent l’accent sur la corporéité de l’homme. Le corps et ses désirs deviennent ainsi les références majeures de l’anthropologie moderne et placent en porte à faux une religion de la transcendance comme le christianisme. Or, la dynamique du désir, pour essentielle qu’elle soit, ne procure jamais une satisfaction totale. En ce sens, on peut dire qu’elle est autant source de souffrance que de satisfaction. Partant de ce constat, (...) la réflexion ici exposée propose un dépassement du désir qui n’enlève rien à sa fécondité mais l’inscrit dans une nouvelle dynamique, celle de l’eschatologie. (shrink)

« Notre science nous vient de l’ineffable qui vit en nous et qui nous donne la parole juste au sujet de l’Homme et de Dieu. Ce livre nous invite à le reconnaître en dessinant des noces heureuses et créatrices entre l’inconscient tel que les hommes le pensent et cet inconscient de l’inconscient qu’est le feu divin. » Bertrand Vergely Les chrétiens se retrouvent tiraillés entre les arguments scientistes ou psychologisants du monde matérialiste dans lequel ils vivent et l’intuition profonde qui (...) les attache à leur foi. Les arguments de la psychanalyse ne peuvent être balayés d’un trait. Si la foi traverse le miroir de l’inconscient telle l Alice de Lewis Carroll, elle va découvrir bien des aspects qui l obligeront à se dépouiller de ses traces psychiques infantiles ou névrotiques. Deux conceptions du monde et deux vécus s interpellent. Leur rencontre, loin d’annuler l’une au profit de l’autre, peut conduire le lecteur à un approfondissement vivant qui modifiera ses représentations de la foi et de la psychanalyse et plus encore leur vécu. La foi décapée par la psychanalyse se vit alors comme écoute du vivant merveilleux, retrouvant ses antiques racines comme la modernité de certaines des thèses du philosophe Bertrand Vergely, qui a écrit la préface de cet ouvrage. (shrink)

Quid est enim tempus? s’interroge Augustin au livre xi des Confessions. Si l’éternité nous échappe par son inaccessibilité, le temps n’en est pas moins mystérieux. Toute sa substance tient de cette réalité sans étendue, inaccessible elle aussi, qu’est le présent. Et pourtant nous parlons d’un temps plus ou moins long, plus ou moins court. Or, le passé n’est plus, l’avenir n’est pas encore. Ils ne peuvent donc être ni longs ni courts. Et le présent est sans extension. Cette manière d’aborder...

Les « débats » politiques à la télévision japonaise en fin de semaine ont la saveur d'un spectacle de pantomime. Ce qui se dit n'importe guère, la plupart du temps tout le monde abondant, avec des nuances délicates, dans le sens de tout le monde. Il paraît donc plus avisé de couper le son et d'observer les rythmes que la parole et le silence impriment à ces corps assis. Des invités cadrés en plan américain, nous n'observons que le mécanisme du (...) tronc et de la face, avec parfois de gros plans sur la zone - Etudes japonaises. (shrink)

Les « commodités de la conversation », on le sait, désignaient spirituellement les fauteuils pour les Précieuses de Molière. Nous tentons de mettre en place les « commodités du silence », en nous défiant du mobilier habituel. À toutes les époques et sous toutes les civilisations, les lieux de l'énonciation ne se contentent pas de refléter les propos, ils participent à leur fabrication. Le babil à ciel ouvert dans le mail de Madame de Sévigné, les rudes affrontements verbaux de la (...) « case à palabres » - Etudes japonaises – Nouvel article. (shrink)

Mime de bienveillance Incontestable au moins dans sa traduction plastique, la bienveillance n'est pas seulement dévolue au débat politique mais affirme sa préséance dans la plupart des protocoles verbaux au Japon. Sa présence efficace ne prend pas l'aspect d'un accueil ostentatoire : elle se présente plutôt comme la découverte ravie d'une convergence inaperçue jusque-là. On « tombe d'accord » selon l'heureuse expression française, en s'émerveillant de cette entente inopinée que tout avait pourtant - Etudes japonaises.

Il est un type de communication, celle avec le dieu, dont les linguistes se détournent peut-être trop vite. Certaines sociétés, très peu religieuses, peuvent n'en posséder pas moins beaucoup de religiones. L'ethnologue ajoute : En dépit du caractère coutumier que présente la religion, elle n'en est pas moins ce qu'il y a de plus conscient dans l'esprit de ceux qui observent ces pratiques, surtout dans les couches populaires où un sens du concret contrebalance ce sens des notions abstraites. - Etudes (...) japonaises. (shrink)

Section précédente Deuxieme section – L'indétermination L'informe, est au cœur de leur recherche plastique. Telle, au sein des « Vers nouveaux », cette exclamation de Mémoire : Regret des bras épais et jeunes d'herbe pure! Qui regrette? Génitif objectif ou subjectif? Quand? Quels bras? De quels corps? Ceux d'un enfant ou d'une rivière? La nominalisation délivre de toute référence événementielle et temporelle ; la modalité exclamative fait surgir radieusement le - Poétique et Études littéraires – GALERIE – Nouvel article.

Première publication : Cent regards sur le Japon,, Paris, éditions Jipango, 2004. Hideux Japon! Depuis l'aéroport jusqu'à l'arrivée au centre-ville, que de pétrifiantes laideurs… celles, grises ou ocre, de bâtiments sans caractère, à la mélancolie triviale ; celles, rutilantes, des enseignes commerciales ou des distributeurs de boissons sur les trottoirs. Sitôt arrivé, quittez ce pays, pour entrer en… « Japonie ». Prenez un train régional lent, qui, par son rythme et l'ordre naturel - Etudes japonaises – Nouvel article.

Three years of work with more than twenty scientists and high-level specialists: here are revealed the modern proofs of the existence of God. For almost four centuries, from Copernicus to Freud via Galileo and Darwin, scientific discoveries have accumulated in a spectacular way, giving the impression that it was possible to explain the Universe without the need to resort to a god. Creator. And so it was that at the beginning of the 20th century, materialism triumphed intellectually. In a way (...) as unexpected as it is surprising, the pendulum of science has swung back in the other direction, with incredible force. The discoveries of Relativity, quantum mechanics, the expansion of the Universe, its thermal death, the Big Bang, the fine tuning of the Universe or the complexity of living things, have followed one another. This new knowledge came to dynamite the certainties anchored in the collective spirit of the 20th century, to the point that we can say today that materialism, which has never been just a belief like any other, is on the way to become an irrational belief. In a language accessible to all, the authors of this book retrace the history of these advances in a fascinating way and offer a rigorous overview of the new proofs of the existence of God. At the dawn of the 20th century, believing in a creator god seemed to oppose science. Today, wouldn't it be the opposite? An invitation to reflection and debate. (shrink)