Dieses Buch schreibt Theorie. Es entwirft am Beispiel von Wilhelm Raabes Erzähltexten zwischen 1856 und 1902 den Grundriss einer ontologischen Narratologie, der über seinen historischen Gegen-stand hinaus systematische Gültigkeit beansprucht. Den Ausgangspunkt bildet die Frage: Was ist Welt?

Gérard Genette a joué un rôle important lors de l’établissement de la méthode structurale en France et ailleurs. Néanmoins ses œuvres – à la différence de celles de Roland Barthes ou Tzvetan Todorov par exemple – ont été reçues en Allemagne avec un grand retard. Pour expliquer ce phénomène, l’article présente la situation d’outre-Rhin en esquissant dans ses grandes lignes l’évolution de la narratologie allemande jusqu’à ses racines dans la « morphologie » goethéenne. Une esquisse qui aboutit à une (...) étude contrastive et qui, finalement, permet de mieux comprendre les raisons principales pour le retardement d’une réception mais aussi pour l’attractivité persistante du système conceptuel de Genette pour la discussion allemande. (shrink)

Cet article vise à définir précisément la forme que prend l’action quand elle fait l’objet d’une mise en intrigue par un récit, de manière à éviter certaines dérives dans l’interprétation du phénoméne de la narrativité et de sa fonction anthropologique. Deux formes de dérives ou de réductionnisme sont d’abord envisagées : d’une part, la narratologie structuraliste a eu tendance à analyser de manière autonome les structures actionnelles formant la ‘fable’ des récits, ce qui l’a amenée à perdre de vue (...) la fonction que remplissaient ces actions au niveau de l’interaction narrative et à généraliser la théorie de l’action ainsi dégagée ; d’autre part, les travaux d’orientation cognitiviste, bien qu’ils aient ‘décloisonné’ l’analyse des structures narratives, ont eu tendance à se fonder sur un modèle schématique de l’action planifiée à la fois trop général et trop simpliste pour parvenir à cerner la fonction proprement narrative que remplissent les actions narrées. L’auteur propose de mettre en évidence, au niveau de l’interaction discursive, la fonction que remplissent certaines formes d’action narrées dans la mise en intrigue, notamment par le biais des effets de suspense et de curiosité qu’elles contribuent à produire. La mise en évidence du rôle fondamental que jouent les actions polémiques dans la dynamique du récit permet de conclure en opposant deux points de vue complémentaires sur l’action : alors que les approches ‘narratives’ mettent en évidence la singularité de l’événement narré, son caractère inédit, surprenant ou sous-déterminé, d’autres formes d’analyse ou de textualisation de l’action cherchent au contraire à cerner la règle ou la régularité derrière l’apparente ‘nouveauté’ de l’événement. (shrink)

Alors que la narratologie prétendait dévoiler les structures du récit en général, Vincent Descombes, dans son livre sur Proust, affirme qu’une science conséquente de la littérature doit rendre compte de la manière particulière qu’a chaque genre littéraire de produire du sens. Nous présentons dans cet article une approche noétique des genres qui, tentant de dépasser l’opposition entre sémiologie et herméneutique, s’intéresse à la manière dont les structures symboliques créent des modes de pensée particuliers. En remarquant que les fondateurs de (...) la narratologie, sous couvert de fiction, ont en réalité analysé le seul genre romanesque, elle propose de repartir de leur travail pour mettre au jour le fonctionnement des synthèses diachronique et synchronique propres au roman. N’en restant pas à cette analyse des structures sémiotiques, la noétique procède à leur interprétation phénoménologique, et montre que le mode de pensée du roman est celui de ce que Hegel appelle l’expérience de la conscience. (shrink)

Alors que la narratologie prétendait dévoiler les structures du récit en général, Vincent Descombes, dans son livre sur Proust, affirme qu’une science conséquente de la littérature doit rendre compte de la manière particulière qu’a chaque genre littéraire de produire du sens. Nous présentons dans cet article une approche noétique des genres qui, tentant de dépasser l’opposition entre sémiologie et herméneutique, s’intéresse à la manière dont les structures symboliques créent des modes de pensée particuliers. En remarquant que les fondateurs de (...) la narratologie, sous couvert de fiction, ont en réalité analysé le seul genre romanesque, elle propose de repartir de leur travail pour mettre au jour le fonctionnement des synthèses diachronique et synchronique propres au roman. N’en restant pas à cette analyse des structures sémiotiques, la noétique procède à leur interprétation phénoménologique, et montre que le mode de pensée du roman est celui de ce que Hegel appelle l’expérience de la conscience. (shrink)

Au confluent de la narratologie et de la psychologie, le concept de narrativité est un outil thérapeutique primordial. Dans le cadre de thérapies post-traumatiques, le thérapeute est l’interlocuteur dont l’écoute soutient les fonctions de l’enveloppe narrative du patient : cette élaboration qui transforme les éléments bruts d’un réel effractant en éléments pensables puise dans la vie fantasmatique qui préexistait à l’événement traumatique. Ces « mythèmes » organisateurs sont venus nourrir la structuration de ces contes à usage privé qui se (...) construisent dans le cadre de la thérapie. Mais ce travail engage un jeu particulier où les identités du témoin, de la victime et du coupable sont floues. Patient et thérapeute se retrouvent au coeur d’une valse-hésitation d’identifications projectives qu’il est nécessaire d’analyser. (shrink)

Que doit la narratologie au corpus à partir duquel elle a été constituée, les « trois volumes Pléiade » d’ À la recherche du temps perdu? Dans « Discours du récit » comme dans Nouveau Discours du récit, mais aussi dans tous les moments de la « suite bardadraque » où il est revenu sur le projet narratologique, G. Genette donne à la Recherche un statut volontairement paradoxal : celui d’une œuvre inachevée après coup. L’alternative entre achèvement et inachèvement (...) peut-elle être toutefois indifférente à une « théorie générale des structures narratives »? On se propose ici de relire toutes les déclarations relatives au statut du roman proustien pour réfléchir aux présupposés de la méthode et tenter de mettre au jour ce qui constitue peut-être l’un des postulats souterrains de la théorie du récit. (shrink)

En plus d'un excellent ouvrage analytique sur Proust, cette thèse dépasse son objet en distinguant bien la pensée du romancier de celle du théoricien. Ainsi la notion de philosophie du roman est profondément explorée et la proposition d'une réforme de la théorie du récit (narratologie) est esquissée. Suppose lecture de la ##Recherche##.

Aus einer philosophisch-phanomenologischen und literaturwissenschaftlichen Perspektive heraus gewinnt Nadine Benz nahere Erkenntnisse uber das temporale Phanomen des Wartens. Zunachst wird die historische Entwicklung der Zeitvorstellung aus philosophisch-phanomenologischer Sicht thematisiert, spezifisch im Hinblick auf die Fragen nach Messbarkeit, Vermitteltheit und nach objektiven und subjektiven Komponenten von Zeiterfahrung in ihrer Aporetik. Im Anschluss wird vom Konzept der Lebenswelt zur Literatur ubergeleitet: Die vorliegende Studie bindet die Aporien der Zeit zunachst theoretisch in eine Narratologie von Zeiterfahrung ein, die vor allem den Faktor (...) des Fiktiven produktiv berucksichtigt. Schliesslich werden die gewonnenen Erkenntnisse und Instrumente fur eine Analyse von Erzahltexten des 20. und 21. Jahrhunderts fruchtbar gemacht. Hier erlangen die literarischen Konfigurationen von Wartezeit als Semantiken des Wartens fur die Subjekte der fiktiven Zeiterfahrung einen konstitutiven Status. (shrink)

Comment raconter un mythe : généalogie, mythologie, mythographie. Cet article étudie le registre linguistique de la mythographie de l’époque classique afin d’identifier la fonction de ces textes. Au moyen de la sociolinguistique, de la narratologie et d’une brève analyse des circonstances énonciatives des textes, il suggère qu’il s’agissait bien d’œuvres de référence, à la manière des productions de la mythographie plus tardive. Cette conclusion a des implications importantes pour le statut contemporain de la mythologie.This article investigates the linguistic register (...) of Classical mythography in order to infer the purpose for which these works were composed. Using sociolinguistics, narratology, and a brief analysis of the enunciative circumstances of the texts, it suggests that the texts were works of reference much like those of later mythography. This has important implications for the contemporary status of mythology. (shrink)

Cet article propose de revenir à la très influente théorie de la métalepse élaborée par Gérard Genette entre 1972 et 2004. Est mis en valeur et discuté l’élargissement progressif de la notion auquel Genette procède, à la faveur du passage de la narratologie aux théories de la fiction et de l’adoption d’une perspective intermédiale. Il est montré que les ambiguïtés présentes dès Discours du récit, en 1972 (qui résident principalement dans l’équivoque entre les niveaux du récit et la frontière (...) entre réalité et fiction) ne font que s’amplifier au point de faire disparaître, en fin de compte, et les frontières de la fiction et les contours du concept de métalepse. Genette accentue ainsi une tendance majeure de notre époque. (shrink)

L'idée selon laquelle les frontières séparant la fiction de la réalité seraient définitivement brouillées est largement répandue. Ce livre est consacré à l'examen de cette situation et à la contestation de ce constat. Il s'attache à montrer l'existence et la nécessité cognitive, conceptuelle et politique des frontières de la fiction, que celle-ci soit narrative, dramatique ou cinématographique. En d'autres termes, il ne propose rien moins que de repenser les frontières de la fiction. Sa première ambition et son premier intérêt résident (...) dans le bilan très complet qu'il dresse des controverses anciennes et récentes sur le statut de la fiction : le phénomène du storytelling, l'histoire des rapports entre Histoire et fiction, la pensée de Lacan dans son rapport avec les avant-gardes françaises, la mouvance cognitiviste. Son second intérêt et sa stimulante nouveauté résident dans le parti de distinction qu'il défend, examinant notamment les limites de la fiction imposées par les cultures qui ignorent ou refusent celle-ci. Le point de vue défendu renouvelle entièrement les termes du débat. L'auteur s'emploie en effet à définir la fiction comme un monde possible possédant son ontologie propre, en concentrant l'intérêt sur la question des paradoxes et de la " métalepse ", cette figure qui confirme la frontière entre les deux mondes en feignant de la franchir. Empruntant à la narratologie, à l'anthropologie, aux sciences cognitives et à l'ontologie, cette étude, aussi fine dans son détail qu'ambitieuse dans son propos, analyse le statut de la fiction dans ses multiples aspects, esthétiques et littéraires, philosophiques et logiques, légaux et politiques. Les exemples nombreux qui viennent soutenir son impeccable argumentation sont empruntés à des aires culturelles éloignées aussi bien qu'à l'Europe, à l'époque contemporaine autant qu'à la première modernité, et aux oeuvres littéraires, cinématographiques ou télévisuelles autant qu'aux mondes virtuels. (shrink)

Am Beispiel des Krugs und anderen, wandernden und tückischen Objekten der Literaturgeschichte soll die wechselseitige Voraussetzung von Offen- und Geschlossenheit in eine Konfiguration von Handlungstheorie, Figurationstheorie und Narratologie übersetzt werden. Die dabei verfolgte Frage lautet: Wie literarisch handeln offene Objekte? Nach Luhmann und Latour lässt sich das Handeln an Konzepte der Beschreibung koppeln: Sei es, dass sich Kommunikation zur Handlung simplifiziert und erst so einem Akteur zugerechnet werden kann, oder sei es, dass zeichenhafte Referenz, Zuschreibung und Protokollierung maßgebliche Stränge (...) in dem Aktionszusammenhang menschlicher und nichtmenschlicher Wesen ausmachen. Solche übersetzungen zwischen Erzählungen und Handlungen verfolgt dieser Beitrag anhand ausgewählter Beispiele aus der Literaturgeschichte. Working with the example of the jar and other, wandering and deceitful objects of literary history, this paper tries to translate the reciprocal presupposition of openness and closure to a configuration of theory of action, figuration and narration. It thus deals with the question, how literarily open objects act. According to Luhmann and Latour, action can be connected to concepts of description: Be it that communication is reduced to action and only thus attributable to an agent, or that symbolic reference, attribution and recording account for significant strands in human and non-human contexts of action. Drawing upon selected examples from literary history, the paper pursuits such translations of narration into action and vice versa. (shrink)

Die späten Erzählungen Cechovs werden nicht als ein Korpus dem großen Roman des Realismus gegenübergestellt. Wenige der Erzählungen werden ausgewählt, jede von ihnen wird gesondert untersucht. Die einzelne Miniatur wird gelesen, als wäre sie allein ein Roman. Die Öffnungen und Ausfaltungen der Miniaturen sind über eine Modifizierung und Integration strukturalistischer Narratologie vermittelt. Die Interpretationen der künstlerischen Welt en miniature beziehen die Intertextualitäten ein, die Cechovs Erzählungen darstellen. Die wissenschaftlichen Nacherzählungen wollen der narrativen Poetik des späten Cechov auf die Spur (...) kommen, und sie könnten zu einer diachronen Semiotik der russischen Erzählkunst beitragen. (shrink)

Résumé Cet article traite de la question des rapports entre la dynamique de l'intrigue et la représentation de l'étranger dans sa dimension temporelle. A la suite de Bakhtine, il s'agira de montrer que le récit littéraire produit un “chronotope” dans lequel la représentation s'abaisse “au niveau d'une réalité actuelle, fluide et inachevée” (1978 : 472). On défendra l'idée que, loin de n'être qu'un dispositif commercial aliénant le lecteur, la tension narrative, qui représente la part dynamique de l'intrigue littéraire, produit un (...) espace temporel orienté permettant le déploiement de l'étranger. Cette réflexion visera par ailleurs à entamer un dialogue interdisciplinaire entre, d'une part, la poétique de l'intrigue telle que l'articule la narratologie contemporaine et, d'autre part, une réflexion philosophique visant la description phénoménologique de l'étranger. (shrink)

Narration et sens sont des concepts particulièrement présents dans la tradition littéraire et philosophique française. On en connaît en effet les développements, qu’il s’agisse de la narratologie dans le sillage du formalisme russe puis du structuralisme, ou de travaux comme ceux de Paul Ricœur utilisant la théorie du récit sur le terrain de l’historiographie et celui de l’identité personnelle. C’est d’ailleurs à l’occasion de ces usages que sont nées à la fin du XXe siècle un certain nombre...

Ce livre est le résultat du troisième colloque du RRENAB (Réseau de Recherche EN Analyse narrative des textes Bibliques), qui s'est tenu à Paris les 8-10 Juin 2006 et qui avait pour thème le point de vue. Cette notion aborde les questions : qui voit, qui perçoit et de quelle manière ? L'ouvrage reprend l'essentiel des conférences (3) et des séminaires (10) qui ont essayé, chacun à sa manière, de cerner cette notion-phare de la narratologie et d'en préciser la (...) pertinence au regard du texte bib.. (shrink)

Lucian’s work De historia conscribenda not only presents reflections on how one should or should not write history, but also illustrates possible ways to represent the authorial activity of a historian (i. e. how one writes ‘metahistory’). In this, two basic forms can be distinguished, both of which can be understood from a narratological perspective as metalepses. In the first case, the historian is represented as the direct originator of the action; in the second he acts as a mere observer, (...) but one who moves spatially in and with his action. Both forms of statement stand within traditions of motifs that can be traced from antiquity through to the modern era; yet Lucian nonetheless makes an innovative contribution by inscribing value judgements into the motifs. The result is the suggestion that the historian fulfils the role of observer, while the role of originator turns out to be more apt for the poet than for the historian. This permits far-reaching conclusions to be drawn about the conception of poetry and historiography as a whole. (shrink)

Journal Name: Philologus Issue: Ahead of print.

Die Vielfalt der mittelalterlichen Epik bietet ein fruchtbares Feld für gattungstheoretische Bestimmungen, das bislang in keiner Hinsicht ausgeschöpft ist. Da die mittelalterlichen Poetiken Gattungszuordnungen nicht zwingend festschreiben, bietet sich die Möglichkeit, auf der Basis einer induktiven Poetik mittelalterliche Werke in ihren generischen Verwandschaftsverhältnissen neu zu bestimmen. Entgegen dem Trend der älteren Forschung, Beschreibungspassagen in der mittelalterlichen Erzählliteratur eher negativ zu bewerten, soll in dem vorliegenden Beitrag die Bedeutung der Ekphrasis für Gattungsbestimmungen mittelalterlicher Erzähltexte herausgearbeitet und mit dem Begriff des „ekphrastischen (...) Romans“ ein neuer, auch die Antike und die Neuzeit umfassender Gattungstypus kreiert werden. Wer sich zünftig vorwiegend mit der modernen Literatur befasst, weiß um die gattungsbildende Funktion der Beschreibung im neoavantgardistischen Nouveau Roman, doch ist die generische Relevanz von ekphrastischen Passagen im mittelalterlichen Versroman noch weithin unerforscht und den Mediävisten unbekannt. Dass gerade der Beschreibung von Kunstwerken, auf die in letzter Zeit immer mehr der Begriff der Ekphrasis eingeschränkt wird, eine große poetische Relevanz zukommt, dokumentiert nicht nur ihre häufige Positionierung am Werkeingang oder ihre motivische Verknüpfung mit Passageriten des Protagonisten, sondern auch ihre besondere digressive Stellung im Erzählkontinuum mit komplexen Rahmen- und Binnenstrukturen, vor allem aber ihre für das ganze Werk repräsentative und quasi gattungsgenerierende Funktion als mise en abyme. Zudem sind die Beschreibungen von Kunstwerken in der Erzählliteratur des Hochmittelalters Zeichen einer neuen materiellen Sachkultur sowie symbolisch-diagrammatische Spiegelungen zeitgenössischer Weltbilder. Durch Partizipation an Formen der Visualität und Intermedialität sind die Ekphrasen auch mediengeschichtlich attraktiv und fungieren außerdem als Vehikel nicht nur einer werkimmanenten Poetik, sondern auch einer intrinsischen, Kunst wie auch Technik umgreifenden und universellen Ästhetik. Das hier rekonstruierte Genos des „ekphrastischen Romans“, das sich bis auf Homers,Ilias' zurückverfolgen lässt, die mit der Beschreibung von Achills Schild einen Prototypen liefert, zeigt bei aller Kontinuität einen besonderen Schub im Hochmittelalter, der neben byzantinischen Einflüssen u. a. mit einer ausgebildeten Exkurstheorie sowie Innovationen in der Erzähltechnik zusammenhängt, wie man z. B. aus dem,Erec' Hartmanns von Aue ersehen kann. Der „ekphrastische Roman“ zielt nicht auf einen nur an Aktionen interessierten Leser ab, der im Extremfall Haltepunkte im Erzählfluss überspringt, sondern auf einen Rezipienten, der sich geduldig mit der Dekodierung imaginärer Bildwelten befasst und bereit ist, sich in poetologische und kunstästhetische Reflexionen zu vertiefen, die eine eigene Ebene der Werkdeutung konstituieren. (shrink)