Like many interested in the gift, I have to confess to having always experienced a certain attraction for methodological individualism. Through its way of approaching social actors, methodological individualism introduces the actor's concern: what are the sound principles which account for the behaviour of the actors that are observed? This is the question which individualism compels us constantly to ask. Admittedly, its response is almost always the same: self-interest. As R.H. Frank wrote: Most [economists’] texts mention at the outset that (...) our rational choice model takes peoples’ tastes as given. They may be altruists, sadists, masochists; or they may be concerned solely with advancing their own material interests. But having said that, most texts then proceed to ignore all motives other than material self-interest.(Frank, 1994, p. xxiii). (shrink)

Het succes waarmee wij ons in een democratische rechtsstaat hebben kunnen bevrijden van autoritaire stelsels en dogmatisme zal tegen ons werken wanneer we zelf geen verantwoorde invulling geven aan levenswijze en levenszin. We slaan gemakkelijk door in egoïsme, onverschilligheid, overproductie en vervreemding. De teleurstelling is groot over onze omgang met Moeder Aarde, de multiculturele problematiek, toenemende sociale ongelijkheid door zelfverrijking en de afbraak van de zorgcultuur. De oorzaken van psychisch lijden komen veelal voort uit het schenden van waarden. Wij doen (...) dit anderen aan of anderen ons. Leegte, doelloosheid en eenzaamheid zijn het gevolg. Avontuur, winstbejag, drugs, succes en sensatie moeten ons tevergeefs uit het slop halen. Vernieuwing is gewenst. Kennis over goed leven is cognitief makkelijker te verspreiden en te toetsen dan eigen attituden te onderzoeken en zo nodig gedrag zelf te wijzigen. Van toename aan zelfkennis en bewustwording van ons onvermogen is meer te verwachten. Aandacht voor psychologische en morele ontwikkeling verheldert het ontstaan van voortreffelijke persoonseigenschappen in het proces van bildung. In dit sociaalfilosofisch werk over levenskunst (ars vitae) veel aandacht voor klassieke wijsheden, een betere verhouding tussen het cognitieve en het emotieve, psychologische experimenten, modern geluksonderzoek en een breed scala aan intrapsychische en psychosociale vaardigheden die het welzijn en de weerbaarheid tegen misstanden vergroten."--Page 4 of cover. (shrink)

Pendant quatre ans, un cours de philosophie des sciences a été proposé aux étudiants et aux personnels de l'université Pierre et Marie Curie. Il répondait à une attente réelle de la part de ce monde de scientifiques. Chacun cherchait des mises au point sur une science qui semble ne pas " penser " pour reprendre le mot d'Heidegger. Il ne s'agissait pas de proposer une nouvelle vulgarisation scientifique qui a par trop tendance à créer une sorte de mythologie ne cédant (...) en rien à la cosmogonie d'Hésiode. Parler du Big Bang, du chaos par exemple provoque des images qui ne correspondent en rien ni à la réalité ni à son expression par un modèle scientifique. On a vu l'engouement qu'a provoqué l'université de tous les savoir où des scientifiques ont parlé de leur science telle qu'elle se crée. Nous souhaitons ici mettre en perspective les différents domaines de la science avec un minimum d'outillage philosophique. Notre but sera atteint si les étudiants et toute personne qui souhaite réfléchir à ces problèmes qui interpellent tous les citoyens trouvent matière à réflexion personnelle. Les perspectives historiques seront présentes car la science se construit dans un contexte sociologique. La maturation des idées se fait au travers d'individus qui sont dans un contexte précis : par exemple, la lutte pour la vie qui sous-tend le darwinisme ne saurait être dissociée de la révolution industrielle de l'Angleterre du XIXe siècle. Ce livre est le résultat de cette expérience qui se prolonge actuellement sur les amphis de la cinquième chaîne de télévision. (shrink)

Derrière toute affirmation, derrière toute déclaration, derrière toute doctrine, se trouve toujours un je, même s'il ne se présente pas comme tel : un je qui pense, qui croit, qui sait. Nous faisons sans cesse usage de nous-même - de nos perceptions, de nos sentiments, de nos idées, de nos savoirs, de nos croyances, pour penser, agir, ou communiquer. La réflexion philosophique ne fait pas exception : ce livre examine les diverses modalités de l'usage de soi en philosophie."--Page 4 of (...) cover. (shrink)

Analysis of the film Poor Things by director Yorgos Lanthimos. A pregnant woman, Bella, throws herself off a bridge to kill herself. A mad doctor retrieves the corpse and replaces the mother’s brain with that of the foetus she is carrying. In an adult body, we see a child developing through the ages to maturity. Bella learns about social behaviour, sexuality and freedom of thought by exploring the world and reading. In turn, she becomes a doctor, carrying out transformations on (...) the bodies of living beings, both animal and human. The film inspires a number of philosophical and ethical reflections and illustrates female emancipation. (shrink)