The digital society is reconfiguring the relationships between digital culture and intercultural citizenship in Peru. To understand these connections, it is important to examine thesis reports presented in Peruvian universities. Conceptual mapping is used as a research method, allowing for the identification of emerging thematic connections. The results demonstrate a growing interest in research on digital culture and intercultural citizenship in Peru, as well as the interconnections and gaps that highlight national inequalities. Essentially, the need for public policies that promote (...) digital culture, and an active and participatory intercultural citizenship online is revealed. (shrink)

My paper, written in 1911, was something of a ballon d'essai, and I acknowledge frankly one or two mistakes. Thus I did not know that Euripides wrote a Thyestes; and again one or two of my references were wrong: in excuse I may perhaps plead that I have not had access to a Latin book for nearly two years. Apart from this I will now make only two observations:1. I set aside the evidence of Cod. Paris. Lat. 7530 because I (...) was dealing with evidence of saec. i.-iv. Cod. Paris. Lat. 7530 shows that some persons at the end of saec. viii. ascribed the Thyestes to L. Varius Rufus. So did persons in saec. iv. In addition, Cod. Paris. Lat. 7530 gives a date for the Thyestes. To Mr. Housmanthis date is certain; if it is uncertain a large part of his argument comes to nothing. But who can think it certain ? It comes to us from the end of the eighth century. If it came to us from Jerome's Chronicle we could still not think it certain, though we should know whence Jerome derived it. We do not now whence Cod. Paris. Lat. 7530 derived it. The reference to Actium may have no better source than the wish to connect a great literary and a great political event: and the gossip about the playwright's profits seems to me in itself suspicious.2. The main contention of the early part of my paper was that the evidence of the relevant MSS. as between Vari and Varii, etc., amounts to nothing either way. I do not think Mr. Housman is prepared seriously to contest this proposition. (shrink)

Dans cet article, dont le sujet peut paraître assez inattendu dans une revue de philosophie, l'auteur poursuit dans un cas déterminé les recherches qu'il a publiées dans son grand ouvrage sur la théorie générale des attitudes et des mouvements humains.Il y applique la même méthode assez complexe, mais qui tient surtout de la phénoménologie. Le football n'est de ce point de vue qu'un mode spécial de la relationde l'homme au monde. L'auteur rappelle d'abord la signification générale de cette relation. Il (...) s'applique ensuite à analyser la valeur propre de la balle, de la balleélastique surtout, comme objet de jeu. A la lumière de la distinction entre le mouvement du jet et celui du coup de pied il décrit la différence entre le jeu de paume et le football. Le coup de pied est plus agressif que le jet. Caractère d'agressivité qui s'accuse d'avantage encore lorsque dans le jeu, les coups de pied se répondent mutuellement.Aussi bien le football est-il une manifestation de masculinité sous la forme du jeu.On peut jeter comme une fille, mais le shot est essentiellement masculin, même lorsqu'on est femme. C'est pourquoi on n'a jamais réussi à introduire le football parmi les femmes. L'auteur analyse ensuite le caractère si particulièrement captivant du football.Il en trouve plusieurs raisons. Le joueur est entièrement absorbé par la situation, qu'il crée sans doute lui-même pour une part mais qui est constituée aussi par le jeu de l'adversaire et des autres hommes de son équipe. Il s'en suit que tout match est dans un certain sens une aventure. Par ailleurs quelque soit l'art du joueur, il ne peut jamais être parfait parce que le hasard intervient toujours à certains moments. De plus, le jeu se déroule d'une manière dramatique ; il traverse une série de phases critiques et aboutit finalement à une sorte de dénouement. Il faut reconnaître cependant que ces caractéristiques sont communes à plusieurs jeux sportifs sur le terrain, comme p. ex.le hockey et le rugby. L'élément spécifique du football reste, ce que le mot d'ailleurs exprime : le coup de pied au ballon. L'auteur s'interroge enfin au sujet de l'attraction que le football exerce sur le public, plus qu'aucun autre sport dans certains pays du moins. Il en voit la cause dans ce fait que le spectateur prend part d'une manière ambiguë à chaque phase du jeu. Celui qui ne joue pas au football est cependant en état de prendre part au jeu comme spectateur, et plus facilement qu'à beaucoup d'autres sports. Par ailleurs il s'y maintient dans une attitude critique. Le résultat incertain de chaque match entrepris dans de bonnes conditions, la perfection toujours relative du jeu, le rituel propre à ce sport, l'orgueil national ou local qui est engagé dans l'affaire, le culte des joueurs favoris et l'encouragement donné à tout cela par la presse, sont, par ailleurs les facteurs principaux de la popularité extraordinaire du football. Chaque époque et chaque peuple à son sport propre. Au monde actuel convient fort bien la popularité d'un jeu sportif à la fois local, national et international où se manifeste une agressivité masculine modérée ainsi qu'une aptitude technique qui peut s'exercer dans des entreprises dépourvues de danger et qui cependant présentent certains aspects d'un sensationnel tempéré et où peuvent se prendre un orgueil et une célébrité sans conséquences sérieuses. (shrink)

В книге на материале психолингвистических экспериментов рассматриваются этические взгляды современных русских и японцев, причем этика русских прослеживается в динамике: на рубежах начала 1990-х гг. и начала XXI века.

для научных работников, преподавателей, аспирантов, студентов юридических вузов и факультетов.

В книге рассматриваются проблемы, занимавшие умы ученых мыслителей и нашедшие свое выражение в различных вариантах философии истории. Для тех, кто хочет знать, что такое история, имеет ли она цель и смысл, и нужно ли ее изучать.

Frederick the Great of Prussia was hailed by many as the model of an ‘Enlightened Despot’. Historians continue to debate both the concept of ‘Enlightened Despotism’ and Frederick’s credentials as an enlightened monarch. Should we talk in terms of ‘enlightened absolutism’? Of ‘reform absolutism’? Or simply drop the use of any such terms for a monarch who used his enlightened philosophising and flute playing as window dressing for a system of governance that was essentially conventional absolutism? In light of continuing (...) debate about the nature of Frederick’s reign, it is worth revisiting the views of contemporaries. As a friend of Voltaire, Frederick’s place was well established in traditional depictions of the Enlightenment as centred on the French philosophes. In the past two decades, however, scholars have broadened and deepened our conception of Enlightenment by researching the ‘social history of ideas’ and illuminating Enlightenment in various national and cultural contexts. In this vein, an analysis of perceptions of Frederick the Great can shed light on the nature of Enlightenment in Britain. Frederick’s popularity in Britain reached dizzying heights in the late 1750s as he won spectacular victories in the Continental campaign against Britain’s enemies in the Seven Years War. From the 1760s on, however, British opinion was generally critical of his regulated and militaristic state and his aggrandisement through diplomacy. While it is not within the scope of this essay to explore broader perceptions of Frederick II in late eighteenth-century Britain, it appears that writers who can be located within ‘conservative’ enlightened thought had a more positive perception of Frederick than dissenters. Samuel Johnson declared that the King of Prussia could get away with wearing plain cloths because ‘of the dignity of his character’. On separate occasions in 1780 Edmund Burke praised Frederick for the economy and efficiency of his royal court and for his religious toleration. An article is in preparation that will explore the range of British opinion on Frederick the Great at the end of his long reign. This essay, however, will focus on how some leading Rational Dissenters perceived the self-consciously enlightened King of Prussia, and provide an exposition of the Memoirs of the life and reign of Frederick (1788) by Joseph Towers. (shrink)