Abstract
Lors de la récente « rétrospective » de l’œuvre de Bertrand Lavier au Centre Georges Pompidou à Paris, on pouvait voir, dans une des dernières salles de l’exposition, comme une « sorte » de peinture gestuelle, une toile ou un panneau, présentant de longs gestes enroulés, blancs, comme dans les plus « belles » des peintures de l’abstraction lyrique. La relation entre le support et la matière laisse à peine entrevoir qu’il ne s’agit pas tout à fait d’une peinture à proprement parler. En examina...