L’espace comme « forme a priori de la sensibilité »

L’Enseignement Philosophique 66 (4):9-25 (2016)
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Abstract

Qui n’a pas éprouvé d’embarras à s’approprier les contenus majeurs de l’Esthétique transcendantale de Kant dans la célèbre Critique de la Raison pure? Prenant ses distances à l’endroit du rationalisme dogmatique de Leibniz qui conçoit l’espace comme un « ordre des coexistences », se détournant de Newton qui considère l’espace comme sensorium dei, Kant tient l’espace (de même que le temps) pour une forme a priori de la sensibilité. Comment élucider la signification de cette expression? Faut-il comprendre que tout ce qui affecte nos sens se trouve spontanément informé du fait d’une instance dont tout sujet humain serait a priori dépositaire? C’est ce que nous entendons examiner.

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