Abstract
SummaryHempel's Deductive‐Nomological model of explanation is compared to Sellars' brand of essentialism. The source of their differences is shown to lie in their views on the explanatory role of inductively based generalizations. An adequate explanation requires a reasoned account of why an empirical generalization fails. On Sellars' view this entails concentrating on the nature of the things whose behavior is in question. We thereby remove ourselves from the misleading positivist methodology in which one counterinstance renders a generalization uninteresting. It is suggested instead that “disconfirmed” generalizations are of crucial positive methodological importance for purposes of theory development.RésuméLe modèle déductif‐nomologique de Hempel est comparéà l'essentialisme dans la version qu'en propose Sellars. L'auteur montre que leurs différences proviennent de ce qu'ils jugent différemment le rôle explicatif des généralisations inductives et les raisons de l'échec d'une généralisation empirique. D'après Sellars, il faut par conséquent se concentrer sur la nature des choses dont on observe le comportement; on évite ainsi les problèmes méthodologiques soulevés par les théories positivistes standard de la confirmation. L'auteur conclut en montrant que des généralisations infirmées ont une importance positive capitale pour le développement des théories