Abstract
Jean Bollack est mort le 4 décembre 2012, à l’âge de 89 ans. C’était un philologue, et un personnage, hors norme, comme il les aimait, et comme ceux qui l’ont connu l’ont aimé. Une façon, paradoxale sans doute, de fixer sa norme à lui, est de dire de l’écriture ce que Léonard disait de la peinture : è cosa mentale. Ce qui signifie que les textes ne sont pas ce pour quoi on les considère souvent, documents ou expressions. Lus par Jean Bollack, ils étaient toujours la trace de la distance prise...