Das folgende Essay erläutert, warum der Tod Gottes sowohl in einem konsequent theistischen System als auch bei atheistischen Denkern unausweichlich ist. Zur Beantwortung der Frage, wie Gott gestorben ist, werden hauptsächlich Autoren wie Friedrich W. Schelling , Friedrich Nietzsche und Peter Sloterdijk herangezogen. Da die Rede vom Tod Gottes den Verdacht erweckt, metaphorisch zu sein, werden wir mit Apoptose und Nekrose auch zwei unterschiedliche Metaphern anwenden, um den vorliegenden Sachverhalt zu beschreiben . Das letzte Kapitel fragt dann nach den (...) Konsequenzen von Gottes Tod für die heutige Ethik.The following essay describes the death of god as unavoidable in a consequent theistic as well as in an atheistic system. To answer the question: how god died, philosophers like Friedrich W. Schelling , Friedrich Nietzsche und Peter Sloterdijk were taken into consideration. For the matter of god’s death is suggestive of being metaphorical, we use two different metaphors to discuss the issue – apoptosis and necrosis . Finally the last chapter asks for the consequences of god’s death concerning nowadays ethics. (shrink)

Embora a ideia de que os processos orgânicos se equilibrassem entre dois processos opostos, um construtivo e um destrutivo, fosse lugar-comum entre as especulações biológicas do século XIX, a semelhança entre a proposta de um instinto de morte, introduzida por Élie Metchnikoff em sua obra de 1903, Etudes sur la Nature Humaine, e a pulsão de morte, proposta por Freud em 1920, justifica não somente essa breve exposição sobre algumas das reflexões de Metchnikoff, como traz novamente à cena a ideia (...) – detectada por meio do mecanismo da apoptose - de que forças de morte atuam na própria constituição da matéria orgânica. (shrink)

Qu'est-ce qu'être Vivant? - S'agit-il de " se conserver " et de " croître "? de " sélectionner " des " mutations utiles "? Si Vivre implique la recherche et l'obtention de conditions favorables, n'y a-t-il de vie qu'à distance de la mort? Cependant et non sans suivre certains philosophes tels Nietzsche ou Bataille, la biologie cellulaire ne nous enseigne-t-elle pas que Vivre implique de ne précisément pas cesser de " correspondre " avec la Mort? Le " dialogue " entre (...) la tendance de toute cellule à se laisser disparaître & la suspension de cette tendance chez toute cellule qui reste en Vie ne réfute-t-il pas l'antique suprématie - de Platon au néodarwinisme - de la vie sur la mort? Les recherches contemporaines sur l'auto-effacement cellulaire - sur l'" apoptose " et la Mort cellulaire " programmée " - permettent d'aborder ces questions en détail. Elles supposent, avec l'équivocité des phénomènes Vitaux, une dialectique Vie-Mort dont l'issue n'est nullement acquise d'avance. Elles nous invitent à repenser le sens même de la conservation, incorporant y compris en ses forces les plus Vives quelque chose comme l'a-Mort. En définitive, les concepts issus de la recherche en biologie cellulaire et l'interprétation épistémologique et philosophique qu'il est possible d'en donner ne concernent pas exclusivement des processus et des entités cellulaires. Notre Vie déployée dans la connaissance, dans l'art ou dans l'amour de la Vie jusque dans la Mort, répond, elle aussi, d'une telle équivocité. (shrink)