Abstract

« Pourquoi y a-t-il plusieurs arts, et non pas un seul? Cette question paraît trop simple : on pensera même qu’elle ne fait pas question. Et cependant, pour peu qu’on se dérobe à une idée romantique de l’Art majuscule, elle est de nature à déplacer toute notre manière de considérer ce qu’on appelle les arts, et avec eux d’une part les sens (et le sens de “sens”), d’autre part la technique (dont l’“art” n’est jamais que la traduction). Avec les arts, c’est le sens du monde qui se trouve, à nouveau, remis en jeu. »