Abstract
Le jugement et l’équilibre sont examinés comme les propriétés fondamentales du corps humain. Le jugement corporel (par exemple, un mouvement correct ou incorrect de la main prenant un objet) aussi bien que l’équilibre sont caractérisés par l’opposition du vrai et du faux ; ils sont non seulement contraints de prétendre à la vérité, mais obligés d’y accéder. Une analogie existe entre l’équilibre comme condition nécessaire de l’existence d’un corps, et l’évidence comme critère nécessaire de la vérité. Le corps, qui juge et qui garde l’équilibre, constitue le soubassement de la liberté humaine.