Abstract
Methoden. Im obigen Artikel ist die „Phylogenie des Stammbaumes” untersucht worden. Beginnend mitHaeckel werden 26 Typen phylogenetischer Symbole kritisch besprochen, d.h. nicht die Resultate, sondern nur die Methoden, z.B. bezüglich Systematik und Phylogenie, lebender und ausgestorbener Organismen, geologischer Perioden, Stufen und homologer Variationen, geographischer Verbreitung, Diversität, etwaiger Bedeutung der Einzelheiten, Mono-, Bi- und Polyrheithrie , usw. Der Faktor Zeit wird dabei für phylogenetische Systeme als der wesentlichste betrachtet. Der Autor hat daher in seinen- neuen Darstellungen die Begriffe „Zeit-Stufen” oder „Zeit-Globen-Oberflächen” eingeführt; diese stehen senkrecht zum „Zeit-Radius”. Auf diesem Grunde wird ein neues Kriterium zur Unterscheidung systematischer und phylogenetischer Vorstellungen denjenigen anderer Autoren hinzugefügt. Erläuterungen. Nach einer Übersicht über die besprochenen Schemen im 1. Teil werden die Verhältnisse zwischen systematischen und phylogenetischen Darstellungen sowie die Verbindung ihrer Symbole untersucht. Es wird gezeigt, dass viele Einzelheiten solcher Konstruktionen oft, wissentlich oder unwissentlich, keine bestimmte Bedeutung haben. Der Verfasser hat versucht zu zeigen, dass es erwünscht wäre, möglichst mit allen Einzelheiten einer symbolischen Darstellung irgendeine Bedeutung zu verbinden: Linien und Entfernungen in der Ebene, Winkel in räumlichen Schemen. Die letztgenannten werden besonders für solche Arten von phylogenetischen Systemen empfohlen, bei denen der Faktor Zeit stets eine der Dimensionen bildet. Dieser Grundsatz wird mit der Evolution systematischer Einzelheiten in Verbindung gebracht, und Merkmals-Phyletik, homologe Variationen, Stufen, Polyrheithrie, Analogie und Homologie, Konvergenz und Verwandtschaft, etc. werden kurz im Lichte der Vererbungslehre besprochen. Es istHayata's extrem dynamischen Ansichten zu verdanken, dass das Statische in den systematischen und phylogenetischen Darstellungen aufgelockert worden ist. Méthodes. Dans l'article inséré ci-dessus il s'agit de ce qu'on pourrait appeler „la phylogénie de l'arbre généalogique”. En commençant parHaeckel , l'auteur discute 26 types divers de symboles phylogénétiques, c.à.d. seulement les méthodes , par exemple en ce qui concerne la taxonomie et la phylogénie, les organismes récents et éteints, les périodes géologiques, les niveaux et les variations homologues, la distribution géographique, la diversité, la signification éventuelle des détails, la mono-, bi- et polyrheithrie , etc. Le Temps est considéré comme l'élément le plus essentiel dans tout système phylogénétique. Par conséquence, l'auteur a introduit dans ses nouvelles représentations les idées de „Niveaux” ou de „Surfaces des Sphères du Temps” qui sont imaginés perpendiculaires au Radius-Temps. Dans l'ordre de ces idées un nouveau critère est ajouté à ceux donnés par d'autres auteurs pour la distinction des systèmes taxonomiques et des représentations phylogénétiques. Justifications. Après une récapitulation des systèmes, énumérés dans la première partie, les relations des constructions taxonomiques et phylogénétiques, ainsi que les connections de leurs symboles sont discutées. Souvent plusieurs détails sont, sciemment ou insciemment, dépourvus de toutes signification. L'auteur a essayé de démontrer qu'il serait désirable d'attribuer autant que possible de significations définies au détails d'une représentation symbolique de la nature décrite: aux lignes et aux distances dans le plan, aux angles dans l'espace. Les constructions tridimensionales sont particulièrement recommandées pour plusieurs systèmes phylogénétiques; dans de tels systèmes le Temps devrait toujours remplir la fonction d'une des dimensions. Ce principe est mis en rapport avec l'évolution des unités taxonomiques; phylogénie des charactères, variations homologues, niveaux, polyrheithrie, analogie et homologie, convergence et relations héréditaires, tous ces sujets sont brièvement discutés dans leurs rapports avec la Génétique. Selon l'opinion de l'auteur, c'est aux idées ultra-dynamiques d'Hayata que la taxonomie et la phylogénie doivent la pénétration féconde du dynamisme dans leurs systèmes trop souvent statiques