Clio 46:278-281 (
2017)
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Abstract
Dès les premières lignes, Rachmi Diyah Larasati plonge le lecteur dans le sujet de son étude à travers ses propres souvenirs d’enfance, dans l’ambiance des soirées passées dans la cour de la maison familiale, petit monde féminin où elle a appris la danse avec sa grand-mère. Cette entrée en matière n’est pas anodine, puisque les travaux de R.D. Larasati ont pour première source sa propre expérience, complétée par les témoignages de plusieurs autres danseuses indonésiennes. À la fois danseuse f...