Abstract
En 1901, l’auteur a démontré que la notion de la valeur économique est basée sur celle de la préférence et de l’avantage. Partant des résultats acquis par Franz Brentano dans l’analyse des notions d’avantage et de valeur, l’auteur démontre que tes notions d’utilité et de devoir se ramènent à cette même base. Il s’ensuit une démonstration du rapport des obligations juridiques et des normes de droit positif, avec l’idée du devoir moral. L’auteur s’efforce de réaliser la synthèse du subjectivisme de Protagoras et de l’objectivisme platonicien en prenant, avec le premier, la conscience subjective comme point de départ, et en désignant, avec le second, les actes distingués comme justes {in sich als richtig charakterisierte Akte) pour fondement de l’objectivité de ce qu’on appelle vérités et valeurs objectives.