Why Philosophers Aren’t Better People

Canadian Journal of Bioethics / Revue canadienne de bioéthique 7 (2-3):175-179 (2024)
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Abstract

Je commence par un récit autobiographique qui explique la question suivante : pourquoi les philosophes ne sont-ils pas de meilleures personnes? La philosophie, telle qu’elle est pratiquée dans la plupart des départements universitaires, ne se préoccupe pas de la manière dont nous habitons et percevons le monde. Elle ne se préoccupe pas vraiment des pratiques qui visent à former le type de personnes que nous devenons. Après avoir discuté des raisons pour lesquelles la question résonne encore aujourd’hui, j’envisage une réponse, basée sur certains travaux de John Dewey. Ses travaux soulignent l’importance des habitudes. Étant donné que les habitudes se forment dans des environnements sociaux, la discussion sur les habitudes m’amène à envisager la pratique de la politique : l’idée que nous pourrions collectivement façonner des environnements sociaux dans lesquels les habitudes se forment. Bien que je ne nie pas que la pratique de la politique puisse être pesante et dangereuse, j’essaie de montrer pourquoi cette pratique est inévitable.

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