Abstract
Le Corps sans Organes, est un terme emprunté à la poésie d’Artaud qui écrit dans Les Tarahumaras, que « la conscience sait ce qui est bon pour elle et ce qui ne lui vaut rien ; et donc les pensées et sentiments qu’elle peut accueillir sans danger et avec profit, et ceux qui sont néfastes pour l’exercice de sa liberté. Elle sait surtout jusqu’où va son être, et jusqu’où il n’est pas encore allé ou n’a pas le droit d’aller sans sombrer dans l’irréalité, l’illusoire, le non-fait, le non-préparé...